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navigation | pages accueil a propos catégories all non classé 8 octobre, 2010 « j’ai hate qu’on s’haime. » a l’heure ou nous parlons, le pakistan s’est vu déva sté par des moussons jamais égalées et a laissé derrière elle, des millions d’orphelins epleurés tandis que le monde conserve à la une, la « fellation » au lieu de « l’inflation » que notre rachida nationale a exclamé. ou vas-t-on, je vous le demande ? et bien, on court à la catastrophe. on se met des visières tels des canassons et on fonce directement dans le mur. prés à nous (faire) exploser la face. on reste là, bien sagement, les bras croisés et on observe sur notre canapé la zapette à la main en réclamant nos droits (depuis longtemps) bafoués . on gueule un coup parce qu’on est pas content, on fait la grève pour x raison et puis on retourne sagement se faire subordonner par des employeurs véreux. c’est la vie, me direz-vous. on étudie, on se marie, on oublie. basta. on bouffe, on boit, on baise. c’est déjà bien assez difficile à faire pour soi-même, le petit pakistanais dans sa boue crasseuse devra repasser pour être servi. sauf que le petit pakistanais n’est jamais repassé et ne repassera jamais car lorsque tu regardais ses malheurs derrière le dernier écran plat high-tech payé avec tes alloc’( dont le petit pakistanais a certainement conçu l’écran digital), il a simplement trépassé entre temps. et un autre petit pakistanais l’avait déjà remplacé . les hommes n’ont pas changés me disait mère-grand. elle avait pas tort l’ancêtre. les seniors ont bien plus de réalisme que tous les politiciens soi-disant préoccupés par les problèmes de notre société. entre les gaucho-socialo à deux balles qui voyagent en jet privé et la racisto-nationalo-droite déterminés à expulser un quart de la population et à exploiter l’autre, on se sent pousser des ailes. il faut toujours écouter les anciens. ils ont l’œil, ils les voient toujours arrivés de loin les baratineurs au sourire white. ils connaissent déjà leurs mensonges et leurs tours de passe-passe. pourtant ils continuent toujours de voter. comme un devoir de citoyenneté qui n’a été qu’un droit tardivement accordé. mais à force de voter, ils ont très bien compris que les hommes ne changeraient. ils ont vu et vécu. ils les connaissent ces orgueilleux près à les renvoyer dans les coins les plus paumés de la terre pour satisfaire leurs egos démesurés. les vieux de la vieille, ils savent que les hommes n’ont pas changés. que les problèmes se parent juste d’une nouvelle face mais qu’ils restent aussi pourris qu’auparavant. l’écart entre les pauvres et les riches se creusent toujours plus. les injustices ne sont plus cachés et les assassinats affichés. aujourd’hui, on veut virer les roms , hier c’était les arabes, bientôt ce sera les chinois. et puis un d’ces quatres, quand les innombrables -mais non moins inutiles -grèves françaises ne suffiront plus, ils couperont -de nouveau- la tête de leur dirigeant. c’est pas qu’ils sont chasseurs de têtes, c’est juste que dans cette histoire sans queue ni tête, ils ont préférés y couper court. ca fera juste de la place pour le prochain faussaire en costard trois quart. les hommes n’ont pas changés. on tranche, on tort, on torture à tour de bras. on laisse crever poliment les sans-abris dans notre pays et on crache notre salive sur ceux qui abandonnent leurs propres enfants. déjà qu’on se préoccupait que de nous, là, on atteint le paroxysme du ridicule de l’individualisme prônée par cette idée fabuleuse qu’est le libéralisme. « liberté, liberté ! » criaient-ils en 68. « consommer,consommer ! » crient-ils aujourd’hui. on entasse, on achète, on revent, on emballe, on déballe. la vie n’a jamais été un aussi vaste amat d’objets. mais au fond,o n est tellement bien dans notre petit confort … qui peut se vanter de préférer se faire chier à aider bénévolement des gens quand notre série passe à la télé ? qui se souci véritablement de son prochain ? ce n’est pas en donnant trois pièces au sdf en bas de chez toi pour te donner conscience que tu es la nouvelle sœur emmanuelle. qui ne donne jamais rien à la quête de la messe? qui se contre-fiche surtout éperdument du reste du monde ? et puis si le fric n’était que le problème. c’est surtout tout ce racisme et cette intolérance incroyable qui domine une bonne moitié. c’est surtout toute cette connerie de capitalisme qui nous a bouffé les neurones et qui nous amène à ne jamais gueuler pour les bonnes choses. c’est tout cet égoïsme surdéveloppé qui règne comme un roi dans son royaume. les vrais problèmes, on ne les verra pas au jt de 20 heures, non, les vrais problèmes, ils sont déjà dans ton comportement. ils sont présent à chaque sourire que tu donnes pas, à chaque bonne volonté dont tu ne fais pas preuve, ils sont là quand tu oublis ta propre famille, à tous les caprices que tu commets et les critiques que tu exprimes. on m’a toujours dit « notre plus grand ennemi, c’est nous-mêmes ». c a fait bien longtemps que les gens sont devenus les plus grands ennemis pour eux et pour les autres. aristote disait que nous étions les animaux et les prédateurs les plus dangereux. on est en 2010, aristote n’a jamais été autant d’actualité. mad’moiselle x . par reycecile le 8 octobre, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 23 juillet, 2010 a coeur ouvert et raison close. -si je pouvais rencontrer quelqu’un ? - dieu . j’ai pas mal de questions à lui poser. autant de questions que je me pose à moi-même. loin du grand barbu à la voix rauque qui aurait du créer un monde parfait, dieu est encore et toujours celui qui m’intrigue le plus. c’est l’inconnu le plus connu de la planète. la seule entité que personne n’a vu et qui rassemble autant de monde. présent sans être là. mixte parfait entre absenteisme existenciel et présence métaphysique. le célèbre absent. ”les absents ont toujours tort” m’as t-on répété. apparemment, cela ne s’applique toujours pas à lui. 15 milliards d’années que l’univers est apparu. 4,6 milliards d’années que la terre a vu le jour. 4 millions d’anneés que l’homme existe. et à peu près autant que la foi est présente. de nos jours, on compte 3 grandes religions monothéistes et quelques milliers d’autres croyances à travers le monde. 2 milliards de chrétiens, 1,5 milliards de musulmans, une dizaine de millions de juifs. mais aussi beaucoup d’autres qui ne croient en rien. beaucoup d’agnostiques. beaucoup qui refusent d’en parler. beaucoup qui ont même oubliés de se poser la question. dieu existe-t-il? les croyants vont disent qu’il n’a pas lieu de se poser la question. les non-croyants demandent des preuves. les transitoires cherchent des réponses. mais si dieu n’existe vraiment pas , pourquoi y’a t’il alors et ce depuis des siècles et des siècles cette inexplicable foi ? une question de tradition? un moyen efficace de ne pas avoir peur de la mort? un moyen simple de ne pas se poser plus de questions?une belle histoire? s i dieu n’était qu’un merveilleux conte inventé par les hommes, pourquoi n’est-il pas devenu obsolète depuis le temps? au fond, la torah, la bible et le coran sont de vieux bouquins poussiéreux. nous savons bien qu’aujourd’hui le monde ne tourne qu’autour de la mode, du paraître et que les choses deviennent désuètes dès leurs naissances. alors pourquoi ces bouquins font-ils encore parler autant d’eux? pourquoi sommes-nous encore souvent intrigués par leurs messages? pourquoi nous battons-nous depuis la nuit des temps sur leurs interprétations, la mise en pratique ou encore leurs messages philosophiques ? c’est bien qu’il y a quelque chose que l’homme n’est pas en mesure de comprendre. qu’il reste encore des mystères qu’il n’a toujours pas perçés. qu’il y a toujours et encore ces questions existencielles insoutenables : qui suis-je? pourquoi suis-je né? pourquoi mourir? que se passe t’il lorsque je meurs? pourquoi moi et pas un autre? quel est mon but sur cette terre? qu’est-ce qui fait que je suis unique? comment la nature peut-il être aussi parfaite dans son système? pourquoi sommes-nous les seuls doués d’une conscience? comment se peut-il que notre corps soit tellement complexe que nous ne connaissons qu’un quart de ses possibilités ? personne ne sait me répondre. du moins de manière sensée et sans utiliser l’existence d’une chose supérieure à nous. ainsi, la foi s’explique donc logiquement. si l’homme ne trouve pas réponse à ces questions seul, il va les trouver grâce à dieu. l’homme se tourne rationnellement vers une réponse qui peut paraître irrationnelle pour beaucoup. de ce fait, la foi fini soit par envelopper le coeur de l’homme, soit par le perdre. soit il s’abandonne à elle, corps et ame, soit il résiste et doute de sa vérité. personnellement, je me situerais en pleine période transitoire. j’ai longtemps pensé que la religion n’était pas importante. que je pouvais être quelqu’un de bien sans être religieuse ou même croire à dieu. j’ai longtemps pensé qu’il y avait des tas de gens bien sur cette terre qui n’avaient pas besoin de croire à dieu pour être comme ça. ainsi, la religion pour moi, n’était qu’un moyen de rendre les gens bons (ce qui est-je vous l’accorde- déjà pas mal). elle n’apportait rien d’autre et de ce fait, je ne comprenais pas son existence,du moins, cela ne me suffisait pas. pourtant, j’ai vite compris qu’elle apportait surtout du sens à ma vie. il ne s’agissait pas seulement d’être quelqu’un de bien avec les autres, mais surtout quelqu’un de bien avec moi-même. de me sentir épanouie. après des années de doutes, celle-ci répond à grand nombre de mes interrogations. a toutes ces choses que je ressens sans les accepter complétement. c’est un combat fraticide entre mon c oeur et ma r aison . aucun des deux ne se laissent affaiblir, ce qui me maintient dans une position instable d’entre deux. en perpétuel désordre interne, je suis partagée entre mes sensations et mes réflexions. on dit que se poser des questions, c’est déjà se remettre en cause. le chemin de la foi a semble t’il commencé mais n’est pas achevé. au début,j’ai voulu répondre au premier ordre « lis ». j’ai essayé de lire mais j’ai vite compris que je n’avais pas les armes nécessaires pour comprendre le message. souvent, je me retrouvais plus perdue qu’autre chose. et puis j’entends dire : “ les voies de dieu sont impénétrables pour ceux qui ne sont pas animés par l’esprit de dieu ”. cela signifie donc qu’il y a des gens qui n’ont pas la foi. la bible meme semble le reconnaitre. mais en disant cela, c’est un message bien pessimiste pour ceux qui ne sont pas nés dans la religion et qui essayent tant bien que mal de trouver leur route. moi qui ne connait rien, inculte en matière de religion, comment pourrais-je me sentir toucher par les messages de dieu si je n’ai pas appris à les reconnaitre en tant que tels ? j’ai donc voulu discuter avec quelques croyants afin de connaitre leurs opinions et le chemin que je pourrais prendre afin d’accéder à dieu. très vite, les réponses divergent. (et diverge, ca fait beaucoup.) les croyants me disent : “ si tu fais un pas vers dieu, dieu en fera milles vers toi ”. j’ai bien essayé de marcher sur l’eau mais l’échec était attendu. ces pas ne sont que métaphoriques et rien ne me guide vers où ceux-ci doivent aller. cela ne me suffit pas. il semble qu’il n’y est pas de mode d’emploi pour accéder à dieu. ce n’est pas aussi simple que monter un meuble d’ikea. sans éducation religieuse. sans personne pour me guider en douceur sur la religion, je fais quoi? je ne peux pas lire abruptement des textes sans avoir suffisamment de connaissances dessus pour me permettre de juger. très vite, je me rends compte qu’il est quasiment impossible de trouver sa voie de manière autodidacte. personne ne semble comprendre ma position et personne ne veut bien l’entendre. j’ai l’impression que personne n’a vécu la transition actuelle que je suis entrain de vivre. et puis, je découvre vite que beaucoup de personnes sont dans le même état que moi. beaucoup y pense, y réfléchisse et parfois même saute le pas. ainsi, la france connait un nombre croissant de convertis au sein de toutes les communautés. c’est donc qu’il y a des gens pour qui, il a été possible de trouver un certain sens à leurs vies. sans pour autant être nés et donc « déterminés » à être religieux. l’espoir renait. trouver sa voie, cela existe. assumer ce qu’on croit et être épanouie est possible. vivre pleinement en tant que croyant est vraisemblable. si cela est applicable à moi? who knows *. * everything is possible. mad’moiselle x. par reycecile le 23 juillet, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 28 juin, 2010 vâgue à l’ame. un jour, elle a jeté une bouteille à la mer . une bouteille empli de ses plus mauvais souvenirs, de ses plus grosses erreurs, de ses plus gros défauts, de ses plus importantes douleurs. elle l’a jeté le plus loin possible dans un cri de rage en espérant qu’ au gré des vagues et des courants, cette bouteille ne reviendrait jamais. un moyen d’en finir avec un passé jamais effacé. de rejeter tout ce qu’elle avait connu, tout ce qu’elle était. rendre amnésique sa propre mémoire. etre comme un nouveau né. pure et primaire. elle voulait que cette bouteille se perde dans le néant bleu des profondeurs sous-marines. qu’elle végète au fond de la mer comme une ondine. déchue au milieu d’une étendue de sable et qui sait, peut-être deviendrait t-elle biodégradable. elle croyait en avoir terminé et que la vie reprenait son cours. on y a coupé court. pourtant, tous les jours, sans que son esprit ne la dirige, ses pas la guidaient toujours vers l’endroit où cette bouteille avait quitté sa main. comme si elle voulait s’assurer que la bouteille avait pris le large au loin. savoir si elle n’avait pas échoué sur la plage ou atterri dans d’innocentes mains. mais tandis qu’elle regardait la mer. bien que son regard s’y perde allégrement et que ses yeux deviennent bleus assombris,elle aperçu sa petite bouteille naviguant de travers au rythme effrénée des vagues. son cœur se serra comme si un homme le tenait à main nue. la bouteille a ressurgit. le passé avec. en retrouvrant cette bouteille, elle se dit que les problèmes n’avaient jamais disparus. ils s’étaient juste éloignés. juste un temps pour laisser reprendre son souffle à son apnée . mais les soucis que l’on veut trop vite oublier reviennent toujours plus puissant que jamais; prêt à vous faire flancher . prêt à vous faire fléchir les genoux et à vous étouffer. a vous faire sombrer dans les abysses. alors pendant un temps, la bouteille l’accompagne, elle la traîne derrière elle, tel un boulet de prisonnier. sa punition personnelle pour n’avoir pas su être forte à de nombreuses reprises. et bien souvent, de nouvelles erreurs se rajoutent à sa bouteille. elle noircit autant que les pierres dans les poches de son pantalon. cette bouteille prend de plus en plus de place dans sa vie. elle lui ronge l’ame . elle pourrie ses pensées et nourrie ses gestes. elle l’assassine peu à peu et l’entourage s’en rend bien compte. ses amis disparaissent peu à peu. isolée, rien ni personne ne semble faire reculer cela. et puis quelqu’un arrive. il semble différent mais pourtant il lui ressemble étrangement. il a une bouteille mouillée dans les mains, lui aussi. le regard aussi vide que le sien. aussi noire que la sienne. il déclare l’avoir cherché partout. il lui avoue qu’elle est la seule personne à avoir la même bouteille que lui. désormais, ils sont deux à détenir le secret que renferme leurs récipients respectifs. ils partagent pour un temps leurs connaissances sur le sujet mais très vite la discussion s’arrête là. lls savent pertinnement qu’ils ne peuvent pas avancer sans détruire ces deux bouteilles couleurs ébènes. après quelques mois, à l’aube d’un inattendu jour, il lui demande de dévisser la boite de pandore. intriguée par ce qu’il pourrait se passer, elle tente le tout pour le tout tel le nabuchodonosor . une épaisse et irrespirable fumée noire embaumera la pièce. l’homme restera longtemps à observer celle-ci, à en faire le tour, à la contempler. et puis, comme un essein d’abeille, elle s’enfuit ailleurs dans un tourbillon de malheur. une incroyable sensation de chaleur semble enfin lui emplir le corps. ses yeux deviennent cette fois d’un bleu ébloui. les idées deviennent éclaircies. la vérité abonde son esprit. les masques s’effondrent. l’époque sombre et les démons semblent avoir enfin fuis. ainsi, le bonheur n’était qu’à portée de main . il n’était qu’à l’ouverture d’une bouchon. il n’était que d’accepter le mal que nous avons commis. de comprendre pourquoi il a fait parti de notre vie. d’assumer la part d’ombre qui a régné parfois en nous. de s’affranchir de cette énergie dévastatrice. plus tard, à l’aube d’un nouveau jour, la bouteille de l’homme devenait vide à son tour… pour la première fois , un sourire doux et sincère était accroché à ses lèvres. un premier pas vers la lumière. désormais,leurs regards ont changés. ils se sont illuminés. et surtout ils regardent vers la même direction. ils se promenent à deux sur la plage. main dans la main. le regard au loin. vers l’inconnu. prêt à partir en voilier à l’encontre de l’espace. a l’encontre du nouveau monde. et de temps à autre, ils apercoivent quelques bouteilles au loin qui ne sont pas les leurs. qu’importe, pour eux, ce ne sont que des bouteilles remplis de messages d’ a mour. mad’moiselle x. par reycecile le 28 juin, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 26 mars, 2010 virgin suicides. « etre jeune n’est pas une période, c’est un etat d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort. on ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux car on déserté un idéal. les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme. les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui lentement nous font pencher vers la terre et nous font devenir poussière avant la mort. jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. il demande comme l’enfant insatiable. et après? il défie les événements et trouve de la joie au jeu de la vie. vous êtes aussi jeune que votre foi. aussi vieux que votre doute. aussi jeune que votre espoir. aussi vieux que votre abattement. vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. réceptif à ce qui est beau, bon et grand. réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini. si un jour votre coeur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse dieu avoir pitié de votre âme de vieillard . » samuel ullmann. la jeunesse est bien plus compliquée et complexe qu’elle ne veut bien vous le montrer. elle est bien plus ambigue que toutes les pâles projections, que tous les textes et les livres consacrés à ce thème si à la mode qu’est l’adolescence. a force de vous entendre nous parler de la “jeunesse” (chose que vous avez connu il y a déjà quelques années), la jeunesse devient un pur stéréotype vivant. on nous parle du jeune comme d’un délinquant en puissance, d’un boutonneux renfermé, de l’âge ingrat, d’une période monstrueuse où les parents regrettent leurs petits chérubins. le temps de la jeunesse, c’est avant tout la recherche profonde de soi-même, de son toit et de ses racines. en somme, quêter le sens de la vie. d’abord, la jeunesse ne sait pas qui elle est (et personne ne le sait). elle n’a pas encore d’identité. mais cette identité connait déjà des prémisses. la jeunesse bascule d’une enfance adorée où les malabars et dgz sont ses principales occupations à une longue traversée de chaos où elle se surprend à avoir peur. chose encore inconnue, la jeunesse a peur de grandir. peur du regard opposé, de l’image qu’elle renvoie, de son style, de la case dans laquelle elle rentre, du sexe, du fric qui peut faire défaut. peur de la couleur de peau, des autres, de la famille,de la deuxième famille que deviennent ses amis, de ses parents souvent aussi paumés qu’elle, de ces modèles qu’elle ne trouve pas, des études futures, du job qui va la faire chier pendant minimum 50 ans grâce à big brother. la jeunesse, c’est un monde complexe où tout s’entremêle . rien n’est clair, en plein brouillard, elle avance à pas de loup, elle se prend pas mal de claques et finalement préfère pour un temps fermer les yeux. pour un temps oublier, pendant une nuit ou de nombreuses soirées. elle préfère oublier car c’est plus simple, car elle suspend le temps à l’aide de bédos, de quintes, de coke et autres substances souriantes, elle préfère oublier en hochant la tête sur des sons technos et hip-hop. elle préfère oublier en s’envoyant en l’air avec le premier venu. elle préfère se foutre dans un état lamentable physiquement que de réfléchir un instant. parce qu’à vrai dire, elle flippe, elle flippe de penser à toutes ces choses. quand j’y pense, si elle envoie chier les règles qu’on lui impose, c’est juste qu’elle refuse le monde qui semble aujourd’hui contrôler ses moindres mouvements. cri de révolte contre un système qui ne lui convient pas et qui n’est pas convenable. et si elle croit être seule à détenir ces pensées,ses parents ont eu les mêmes. ils ont juste oubliés eux aussi. mais définitivement cette fois-ci. ils ont abandonnés, ils se sont résignés. on dit que l’âge rend sage, il rend surtout plus docile à amadouer. la jeunesse c’est celle qui remarque les points qui ne vont pas. c’est la future génération. donc la plus enclin à subir la folie de ses ainés. la jeunesse sait où le bat blesse. elle sait donc s’en servir. bien souvent, la jeunesse trouve les mots justes pour qualifier les situations les plus indescriptibles. car la jeunesse est intransigeante. elle n’a de pitié ni avec ses parents,ni avec le monde qui gravite autour d’elle. elle critique son prochain d’un oeil avisé. autant dans leurs comportements que leurs mentalité. la jeunesse ne comprend pas les hommes politiques. ils la répugnent. mais si au fond, elle ne s’intéresse pas à la politique c’est parce que la politique ne sait pas intéressée à elle. la jeunesse est néanmoins capable d’aimer, d’être disponible, d’être compréhensive, d’être serviable, d’être polie, d’avoir la foi. si le sexe fait son quotidien, elle recherche comme idéal, avant tout l’amour, le vrai, le pur. celui qui transcende et fait grandir. en somme, comme tout un chacun. comme edward et bella. la jeunesse ne sait pas d’où elle vient. elle ne veut pas le savoir. l’histoire le prouve. l’homme a commis un carnage. voilà, l’héritage donné. un monde en mauvais état qui ne risque pas de s’améliorer. elle sait que tout part déjà de travers. elle sait que l’addition sera salée. la jeunesse est très réaliste. alors pour mieux fuir cette réalité, la jeunesse préserve sa rose dans son microcosme. elle s’échappe dans son propre monde. un monde sertie d’une communication multipliée grâce à internet. elle se drague par chatroulette, s’apprécie sur msn, s’attache sur facebook, s’engueule par email, se jette par textos. la jeunesse choisie, obtient et après utilisation jette. mais croire que le monde de la jeunesse se résume à un univers de superficialité, d’idoles et d’idolâtries. c’est être dans l’erreur. car la jeunesse n’est pas encore totalement soumise et a très bien compris qu’elle vivait dans un monde de pâles copies déstructurés bien au contraire, la jeunesse est bien souvent confronté à sa propre réalité , au monde que la famille englobe. la jeunesse est confronté aux pires exemples, à la pire influence et pour le coup, elle s’en sort pas trop mal. la jeunesse est ouverte d’esprit. elle se doit d’être ouverte car elle vit dans un monde où tout va vite, trop vite. un monde en constante évolution et réinvention. un monde cosmopolite. j’entends souvent dire que la jeunesse ne sait pas où elle va, qu’elle répète sans cesse : “j’sais pas c’que j’veux faire de ma vie.” ou “j’men fou“. mais au fond, personne ne lui a donné les bonnes clés pour ouvrir les bonnes portes. j’entends dire que les études, c’est pas vraiment ce qui la passionne, tout la gave, la soule, la porte sur les nerfs. mais au fond, le système éducatif est aussi un formidable echec. j’entends dire que rien ne l’intéresse vraiment si ce n’est les trois “b.” bouffer, boire et baiser. ” mais au fond, que vois-t’on à la télé si ce n’est la marchandisation du sexe où les femmes ne sont que des corps, que vois-t’on si ce n’est tellement de nourritures que nous frôlons les 15% d’obèses, que vois-t’on si ce n’est des bars distributeurs d’alcool à volonté. j’entends dire que “la jeunesse est un monde aussi creux qu’une capote pleine. aussi rempli qu’un verre d’alcool.” et moi, je soutiens que ce n’est pas sur la jeunesse qu’il faut jeter la première pierre. il serait temps de modifier les discours datés des politiciens ratés. la jeunesse est aussi et surtout doué de raison, parfois bien plus que ses propres parents. la jeunesse est riche d’une palette au milles couleurs dont elle s’accommode aisément. la jeunesse sait être intéressé par les études et s’investir dans des domaines qui l’inspire. la jeunesse sait être volontaire, indépendante, intellectuelle et ambitieuse. la jeunesse sait être admirative, impressionnée, passionnée. la jeunesse sait être humble, modeste, réfléchie, romantique. elle ressent les émotions de manière bien plus forte et violente que n’importe quoi. car elle les comprend. “un adolescent est soit introverti soit excessif” me dit-on . la jeunesse, c’est surtout celle qui jongle avec des centaines de contradictions. modernité et tradition. timidité et passion; faisant d’elle la seule chose capable de réunir des antinomies en un tout. amour. sexe. passion. peur. doute. obsession. mad’moiselle x. par reycecile le 26 mars, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 2 mars, 2010 tome 1. chapitre 1 -les parents se sont pris le corps et la tête un soir de fête. ils ont oubliés de quoi leur histoire était faite. une histoire sans queue ni tête. une histoire complexe dont est né un bébé à l’apparence parfaite. un bébé dont les gazouillis faisaient craqués plus d’un tandis qu’un autre n’avait jamais demandé ce destin. lui, il n’ a jamais demandé à “prendre un enfant par la main”, il n’a jamais voulu un bambin. a croire qu’un nouvel être humain dans sa vie était malsain. il avait crée quelqu’un. une première sur son chemin. la nouveauté, c’est angoissant. même terrifiant. on s’aventure vers un sentier inconnu. alors pour mieux se rassurer, on fait mine que l’on ne se souvient plus. on disparaît dans les bras d’une autre. a la couleur plus caramélisée, plus exotique, plus érotique. lui, il est heureux, mais la noirceur que porte les yeux de l’enfant ne trompent pas. car il est resté là, stoique. il attend son papa qui ne reviendra pas. chapitre 2 - ainsi passent les anniversaires. l’enfant a quelques années déjà. les bras de son père n’ont jamais réapparus. l’enfant n’attend plus. l’enfant ne crie plus. l’enfant ne parle plus. il ne se parle qu’à lui-même. il ne parle qu’à travers ses dessins. maman et enfant, main dans la main. papa a disparu du dessein. l’enfant refuse pourtant de manger. il boude ses pâpâtes carrées. ne veut plus rien avaler. peur d’avaler d’autres couleuvres. l’enfant est dans son coin. il aime s’évader dans son monde naturel. passionné par les nuages et par le ciel. il s’imagine souvent comme un petit prince en partance pour un autre univers. une autre galaxie où l’école n’existe pas. car l’école ne l’aime pas. sa maîtresse, madame “salomé” a toujours su porter son nom. non, l’enfant n’aime pas l’école et elle le lui rend bien. si l’enfant ne parle plus, l’enfant observe. si l’enfant est renfermé et ne joue quasiment jamais, l’enfant est dans sa terre doré. cela permet d’oublier que sa mère est souvent absente et qu’il ne la voit que pour le coucher. car c’est une autre femme qui prend le relais. car c’est une autre femme qui aime l’enfant, le caresse, l’embrasse, le berce. l’enfant se rendra compte que si sa mère se couchait tard, c’était pour mieux lui privilégier des moments rares. histoire d’avoir un toit et quelques bouillies dans l’assiette comprendra t-il plus tard. chapitre 3 - le temps passe. l’habitat aussi. nouvelle ambiance. nouvelle école. nouvelles personnes. le soleil est plus fort, plus chaud. adaptation. l’enfant grandit avec la certitude que la vie est bien solitaire. qu’il ne faut pas trop s’attacher aux repères, car la vie les balayent d’un coup d’revers. l’enfant grandit avec dans les yeux de la colère et pourtant l’enfant ne montre rien. son visage est d’ange mais ses pensées démoniaques. il bouillonne. l’enfant ne comprend pas. alors l’enfant s’enfuit. il court. a en perdre haleine jusqu’à trouver ses partenaires de glisse. ses amis. sa deuxième famille. une bande de mouflons tous plus ou moins dans la même galère. tous plus ou moins acceptés. tous rejetés. l’enfant sait se mêler aux autres mais reste toujours sur ses gardes. l’enfant aime ne faire partie d’aucune catégorie. même s’il est l’un des chefs de sa bande,il reste mystérieux. souvent dans la lune, il rêve en regardant par la fenêtre. il vole mais juste dans les airs. sa mère, elle ne vole pas. elle se bat. telle une lionne protégeant sa progéniture. une lionne bien farouche mais qu’il ne voit que rarement pour le goûter. lui ramener à manger est déjà bien assez difficile comme ça. certes la misère n’a jamais été présente mais la richesse non plus. les faims de mois, on les a vécu. le ventre vide, on peut toujours être dans la matrice. dans son minuscule jardin, l’enfant s’allonge sur un vieux matelas et vague à ses pensées révélatrices. chapitre 4 - la vie poursuit son cours jusqu’à l’arrivée d’un inconnu sur le pallier. “maman, y’a un monsieur à la porte” crie l’enfant. sa mère sourie en le voyant. l’enfant comprend vite que rien ne sera comme avant. sa mère en aime un autre et c’est tant mieux comme ça. sa mère semble bizarrement heureuse, l’enfant ne calcule pas. il se laisse trainer de temps en temps. les amis ont grandit mais sont toujours là. la diversité, c’est son quartier. un quartier aux milles couleurs. toujours du gris. l’école n’est plus un souci, quelques bagarres ont mis fin au règne de mickael iii, cm2 et roi de la cour de recré avec ses billes plus grosses que les autres. on lui aura remis ses billes à leur place. l’enfant va toujours à la piscine municipale comme activité principale. le grand plongeon dans le grand bassin. l’enfant ne se rendait pas compte qu’il ne ferait jamais le grand saut divin. et oui, il est temps de partir. ne jamais s’attacher s’était-il répété. l’enfant quitte ses amis, sa bande à basile et ses souvenirs. l’enfant quitte son enfance. il va vers la grande ville. avignon lui dit-on. chapitre 5 - entrée en sixième. terrifiante découverte du monde pré-adolescent et de l’échec scolaire collectif. s’il n’aimait pas déjà l’école, le collège lui paraît une immense prison de connaissance. où as-t-on vu un lieu conçu pour imaginer sertie de barreaux aux fenêtres? très vite pourtant, l’enfant les oublient. il s’en est accoutumé. il observe patiemment les gens autour de soi. il se tait mais sait l’ouvrir quand il le faut. il sait s’ouvrir quand bon lui semble. ses amis tant aimés qu’il avait du quitter, il s’en est fait d’autres. une nouvelle bande s’est formé. dans le coin de la cour, leurs sacs eastpacks sont jetés au pied du platane éploré. le coin devient le lieu de pleurs, d’engueulades, de bagarres, de confessions, de secrets. la bande vit au rythme des hormones démultipliés de ses adolescents en ébullition. au milieu de ce monde, l’enfant cherche son style. il cultive la différence. son pâle reflet ne l’a jamais quitté et son accoutrement est aussi noir que son regard. renfermé, susceptible, à fleur de peau, écorché, l’enfant qui avait gardé toute la colère en lui commence à l’expulser. doué dans les joutes verbales, apprendre à avoir de la répartie dans ce monde devient son seul souci. un masque comme un autre qui a toujours ses faiblesses. le masque est primordial dans un univers aussi cruel que la classe. d’ailleurs, ses notes à l’ écrit sont bonnes mais les professeurs remarquent aisément l’aspect papillonneux de l’enfant. “votre enfant bulle” déclarera la maîtresse. l’enfant bulle d’autant plus que sa nouvelle chambre du palais (dans lequel il habite) comporte une fênetre aussi grande que lui. fênetre qui l’aura souvent tenté vers le grand saut qu’il n’a jamais pu faire. la dépression est de bon ton chez l’enfadolescent. surtout dans un groupe de moutons dont l’ouverture d’esprit est à cette époque égale à une coquille vide. l’enfant évolue dans un microcosme de 300 personnes qu’il connait par coeur et ce n’est pas de ce côté qu’il sera marqué. sa vie amoureuse ne le passionne guère. il embrasse pour la première fois. un souvenir mouillé et maladroit. son coeur ne fait jamais véritablement boum tandis que ses amis vivent déjà les feux de l’amour version babyboom. chapitre 6 - entrée en seconde. parfaite destruction du monde perfectionné dans lequel il vivait. l’enfant parle pour la première fois à la personne qui deviendra plus tard sa soeur de coeur. la rencontre ultime. l’enfant choisit une catégorie déjà artistique. une classe option théâtre. un moyen comme un autre selon les parents d’ouvrir le cerveau de l’enfant. l’enfant se retrouve dans une classe bien particulière. séparée entre les pestes du conservatoire et les théâtreux paumés du réservoir. l’enfant croise pour la première fois le regard d’un autre. de l’autre. il sympathise rapidement avec. lui sourie. le premier battement vient à apparaître. les premiers émois. pourtant cela ne marchera que pour un temps. jusqu’à la rencontre du premier amour. a peine, 15 ans. c’est sur un baiser au cinéma que l’affaire se réglera. un an passe. l’amour prend fin pour un autre. s’ensuit la passion fusionnelle trop folle pour durer et qui résultera d’un non -lieu. les histoires de coeurs s’arrêtent, les histoires de cul prennent le devant. l’enfant sait qu’il ne faut pas trop s’embêter avec les sentiments. sinon on finit par s’étouffer amèrement. les étés s’enchainent doucement. la réalité commence à apparaître. la prise de conscience sur les injustices naissent. mais doté d’une force de caractère affirmée, l’enfant ne se laissera jamais marcher sur les pieds. chapitre 7 - fin du bac. l’enfant s’intéresse aux sciences politiques. pompeux et brillant sujet. l’enfant,curieux et espiègle se laissera guider vers la matière métaphysique. l’enfant a pour le coup bien grandi et les études deviennent un intérêt plus important. il n’est plus en colère, il est désormais révolté. une colère non plus tourné vers lui-même mais vers la société. l’ennemi déclaré. l’ennemi à abattre. la musique devient la seule chose qui adoucie ses moeurs. la seule qui veuille bien entendre. car c’est seulement avec la durée que l’enfant qui était soldat se laisse attendrir. il tend l’oreille vers les autres ainsi que vers ses parents qu’ils n’entendaient plus depuis longtemps. l’enfant devient bien plus humble. il apprend, discute, découvre et rencontre plusieurs personnes qui le feront changer dans ses discours. dont une, au détour d’un car pour le retour de la ville natale. une personne qui changera à la fois sont fond et sa forme. une personne à qui il finira par prendre la main. l’amour est tombé comme l’épée de damoclés. cupidon a attendu bien longtemps pour décocher sa flêche. au début, l’enfant a donné sa main sans trop y croire. il la souvent desserrée, lui a parfois cracher dessus, la abandonné. c’est seulement après avoir serré quelques mains que l’enfant compris que la force des doigts n’avaient jamais eu la même intensité. c’est donc dans l’optique de cette intensité que l’enfant cherchait cette fameuse main à la puissance survoltée. quelques mois plus tard, en ouvrant une porte, il serra de nouveau l’insolente douceur de la main quêté. sa main restera t-elle accrochée? a vous de me faire écrire la suite. mad’moiselle x. par reycecile le 2 mars, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 1 février, 2010 ce ne sera plus “dessine moi un mouton” mais “dessinons notre amour”. i l était une fois l’histoire d’une lune et d’un sultan . la l une, incandescente, divine, loin, ronde à la perfection, blanche tâchée de traces noires était inaccessible, indomptable. la lune n’appartenait à personne et personne n’appartenait à la lune. elle restait simplement à la même place et rien ne l’atteignait. fidèle à ses principes, elle éclairait la terre. pourtant, parfois la terre ne méritait plus sa lueur. la planète bleue était devenue dans certains de ses aspects une terre bien sombre. mais là où le soleil et les astres ne voulaient plus éclairer et laissaient les nuages s’installer, la lune, elle, assurait son poste. comme un soldat qui ne fléchirait jamais. car la lune était généreuse et voulait faire partager sa lumière à tous. c’était une lune bien consciente de son destin et de ses responsabilités. elle savait que sa lumière ne devait pas faiblir, car elle plongerait dans l’obscurité de la nuit des milliards de personnes. et puis, en secret, elle désirait illuminer ceux qu’elle aimait et quelque fois les observer. sur la planète bleue, un petit s ultan vivant dans un magnifique royaume était pourtant bien malheureux. il pouvait être allongé dans son lit, assis dans une voiture, sur une machine à laver, contre un mur, entrain de marcher,près d’une fenêtre, sur de l’herbe. il pouvait être dans la forêt, debout, arrêté, au bord de la route, dans des escaliers, dans un café, sur le ventre, sur le dos, au cinéma, pliés, les jambes en l’air ou encore retourné, rien, absolument rien ne l’apaisait. il souhaitait parfois être plus démuni si cela l’avait rapproché du bonheur. ne trouvant aucun échappatoire à son ennui, il leva alors les yeux au ciel dans un soupir exaspéré. ce fut la lune qu’il trouva. et depuis ce jour, il l’observa chaque nuit. elle devint sa seule passion. il la scruta sous toutes les coutures. sous toutes les formes. après une année,le petit sultan pensa connaître par coeur la lune. ainsi, il pensa que les petites étoiles pourrait lui apprendre plus. cela dura quelques mois. mais c’était sans compter sur la luminosité de la lune qui cachaient de loin la faible présence des étoiles. la lune n’avait pas voulu se faire oublier, elle brillait plus forte que jamais et le sultan du détourner son regard vers elle; le sultan qui pensait tout connaitre de la lune découvrit alors peut-être une des choses les plus étonnantes. le petit sultan demanda à son humble serviteur si ces yeux produisaient quelque supercheries, mais la réponse lui confirma cet étrange phénomène. la couleur de la lune avait changé. le petit sultan resta bouche bée. la tête en l’air. un sourire aux lèvres. comme un aimant, le petit sultan ne pouvait détacher son regard de la beauté de la chose. il connu peut-être la plus grande attraction qu’il n’avait jamais connu. pourquoi sa couleur a t-elle changé? si je parlais de chaleur, là, le petit sultan brûlait. brulait d’envie de construire une navette spatiale et de s’enfuir pour la rejoindre et comprendre. ce soudain changement coloré raviva des sentiments enfouis chez le petit sultan. il était question de curiosité mais aussi l’incroyable impression que cette couleur avait toujours manqué à sa vie. le petit sultan était retombé amoureux de la lune. comme un gamin qui retrouverait son jeux préféré après des années. le petit sultan n’avait pas encore réussi à créer la bonne navette,à trouver les bons matériaux pour pallier les aléas en cours de route mais sa volonté, plus forte que tout aurait pu le souffler jusqu’à elle. après quelques réflexions complexes et métaphysiques, le petit sultan acheva son projet et débuta son voyage pour retrouver la plus rayonnante des planètes. ni les conseils avisés des sages, ni les mots de ses amis les plus proches ne pouvaient l’arrêter. si la navette n’avait pas existé, il se serait fait pousser des ailes. le petit sultan qui s’était bien préparé à toute éventualité, avait fabriqué une navette armée jusqu’aux dents. mais plus le petit sultan se rapprochait du but, plus il se rendait compte que l’impressionnante préparation de sa navette n’avait plus lieu d’être. ainsi, le petit sultan largua durant son voyage, la majorité des choses superflues. tout y passa. y compris les vêtements. plus on est léger, plus on est rapide. arrivé devant la lune, le petit sultan n’était plus qu’une âme, démuni de toute chose. pourtant il ne connut pas plus grand bonheur. ainsi son royaume et sa navette ne lui avait servi à rien. le superficiel n’a jamais pu combattre l’essentiel. face à une aussi belle lumière, le petit sultan ému, s’inclina et tendit simplement la main. c’est avec la main la plus douce qui soit que la lune l’attrapa. comme deux mains scellées pour l’éternité que même l’émanante chaleur ne peut faire glisser. le petit sultan qui était nu dans son coeur et son corps était désormais habillé de la plus pure des couleurs lunaires. l’amour renaît. mad’moiselle x. par reycecile le 1 février, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 27 janvier, 2010 « il fait froid car on regarde là où il n’y a pas de chaleur.” alexandra david-néel “ de toutes les sources d’énergies, la chaleur humaine est la moins coûteuse et la plus productrice .” en terme d’humain, on cherche tous notre source de chaleur. pour certains, ce sera un bon feu de cheminée, pour d’autres ce sera un rapprochement physique de corps, un simple calin, deux mains accrochées, un bon lit, des retrouvailles, s’allonger sous le soleil. pour d’autres encore, ce sera un bain chaud, un bon manteau, un chocolat chaud. certains préfèrent un sourire qui les réchauffent, un joli regard,un baiser, une surprise. d’autres se réchauffent le coeur par un beau spectacle, une musique transcendante, un film exaltant, une danse prenante, une voix chaleureuse, un compliment, un effleurement, un simple appel ou un message de celui que l’on aime. en tant qu’humain, pauvre ou riche, blanc ou noir, seul ou accompagné, du nord comme du sud, religieux ou pas, on aspire au fond tous au fond à la même chose. la chaleur. la chaleur peut prendre bien des formes. polymorphe. elle se métamorphose. on peut la trouver partout, même dans les endroits les plus glaçiales, même avec les personnes les plus intangibles, les situations les plus discutables. la chaleur procure une sensation de souffle chaud dans nos coeurs et nos corps. c’est une sensation indiscutablement riche d’émotions. elle installe une ambiance de convivialité, apaisante, et relaxante . la chaleur est souvent synonyme de douceur, de temps libre, de tendresse.ainsi, elle peut embellir tout et n’importe quoi. on dit d’ailleurs que “ la misère semble plus belle au soleil .” même si ce n’est qu’apparence, la chaleur donne le sentiment de magnifier les personnes et de ralentir sensiblement le temps qui s’enfuit. la chaleur ralentie à la fois nos pas, nos maux de tête, nos angoisses aussi nombreuses soient-elles. car la chaleur est bien souvent, sans nous rendre compte, l’étape précédent le bonheur. alors trouvons un endroit bien chaud sans nous brûler, permettons aux autres d’en profiter et “cultivons notre jardin” mad’moiselle x. par reycecile le 27 janvier, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 17 janvier, 2010 coup d’mots. . j’ai d’la rage dans l’écriture. l’envie de mordre est pressante. a croire que mon flow est pleins de morsures. style incandescent. .j’aimerais qu’mes mots soient des coups d’poing. vous marteler de paroles à coups d’serin. m’en voulez pas, au fond, c’est pour votr’ bien. *** . j’ai envie de croquer la pomme. me laisser prendre par la tentation. etre simplement un homme. faible et sans raison. je déplore les mecs qui n’savent pas se tenir. ceux qui ne peuvent se retenir de tirer leur coup et à la moindre occasion d’en glapir. ceux qui boivent comme des trous pour justifier leurs actions. etre bourré, ne signifie pas forçèment bourrer les autres. d’accord, personne n’est parfait, on a tous croqués au moins une fois la pomme mais ceux qui mangent toute celle de l’arbre, là j’accuse et condamne. vous allez me sortir votre baratin à deux balle pour argumenter votre comportement bestial. en connaissance de cause, vous allez faire une overdose. vous perdre dans la déchéance et empirer dans la décadence. si j’déplore les mecs, j’déplore aussi les filles, sages le jour, furies la nuit. minijupes et talon aiguilles. rouge à lévres et lunettes qui brillent. rires futiles, regards appuyés, seins en avant, prête à être retournés. bourrées en deux minutes chrono, elles dansent à poil sur la sono et s’étonnent qu’ils deviennent chaud. font les chastes, les pures mais peuvent facilement se retrouver dans des positions d’injures. vous allez m’sortir votre baratin. “au fond,on est des filles bien”. commence d’abord par couvrir tes seins, “tu” m’en reparleras demain. eve a pt’têtre croqué le fruit défendu . mais j’ai encore envie d’croire aux valeurs qui semblent perdues. s’agit pas d’un monde idéal mais un peu d’simplicité ne fait jamais d’mal * .j’ai envie de cracher ma douleur comme de tuer le bonheur. car j’ai peur de ma propre lueur. elle pourrait brûler ma candeur. j’déplore les gens qui ont du talent et qui le gâche à pas savoir quoi faire. les gens qui ne sont jamais satisfait, pour un oui ou pour un non. ceux qui valsent entre le rien et le tout. ceux qui ont peur de leur propre ombre. ceux qui sont timides au point de ne plus les voir. ceux qui sont effrayés de ne pas rentrer dans les normes. ceux qui essayent de ressembler à monsieur tout le monde. j’suis soulé d’ceux qui voudrait être un autre alors que leur propre lumière est unique. * . j’ai arrêté de croire en l’idéal, l’utopie étant son égal, j’ai choisie d’me tirer une balle. je supporte plus ceux qui vivent dans un monde en noir et blanc. ca fait un moment qu’on est en couleur. faudrait p’têtre évoluer. un monde manichéen n’est plus possible. les bons ne sont pas toujours bons et les méchants ne sont plus toujours méchants. la rédemption existe, la vicissitude aussi. on est des humains. pourris à la base mais capable de nous améliorer. quand j’dis qu’il faut s’améliorer, j’parle pas d’un monde idéal. sinon on se ferait tous chier. j’parle pas d’un monde dégoulinant de guimauve. non j’parle d’un monde où chacun fait son possible pour trouver le juste milieu. . j’ai arrêté de vouloir vivre. je me laisse guider par mon bateau ivre. .a trop faire fondre le givre, on pourra désormais me décrypter comme dans un livre. mad’moiselle x. par reycecile le 17 janvier, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 10 janvier, 2010 “quelle lumière est lumière si elle ne l’éclaire pas. quelle joie est joie s’il est loin de moi. si ce n’est d’imaginer qu’il est là et me repaitre d’une ombre de perfection. si la nuit, je ne suis pas près de lui,où est la musique du rossignol? si le jour,je ne le contemple pas, il n’est de jour qui vaille d’être contemplé. il est mon essence. ” l’amour, tout le monde en parle, personne ne l’a vu, peu le connaisse. « c’est quoi ce bordel avec l’amour, comment ça se fait qu’on devienne dingue à ce point,t’imagines le temps qu’on passe à se prendre la tête dessus? quand t’as quelqu’un : est-ce que c’est la bonne? est-ce que je l’aime vraiment, est-ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime? est-ce qu’on peut aimer plusieurs personnes dans une vie? pourquoi on se sépare? est-ce qu’on peut réparer les choses une fois qu’on sent que ça se barre en couilles? toutes ces questions à la con qu’on se pose tout le temps… pourtant on peut pas dire qu’on y connait rien, on lit des histoires d’amour, on lit des contes, on écrit sur l’amour, on parle d’amour, on cherche l’amour,on voit des films d’amour,on écoute des chansons d’amour, on se prend la tête tous les jours avec l’amour, l’amour, l’amour, l’amour, toujours ce putain d’amour à la con, mais pourquoi c’est si compliqué? » les poupées russes. mais que peut-on prétendre savoir de l’amour si ce n’est une confusion, un vague souvenir, un léger battement de coeur, un papillon? que peut-on prétendre savoir si ce n’est une image à la fois immatérielle, erronée par un nombre incalculable de romantismes? que peut-on prétendre savoir si ce n’est les histoires mystiques et mythiques des anciens couples écrites par des auteurs à l’écriture fumeuse? l’amour, mystère insolvable . grande et petite chose qu’est l’amour. chose que l’on ne touche jamais, qui ne nous appartient jamais. nous passons le plus clair de notre temps à le chasser sans pour autant l’attraper. nous traquons l’amour comme un papillon rare sans comprendre que l’on passe à côté de lui. l’amour, confusion faite entre sexe et amitié. passion et tendresse. il se glisse, s’immisce, prend, ne prévient jamais. il avance à pas feutrés. se cache des regards. se dévoile dans la nuit. c’est une chose qui dérobe les mots des lèvres, exalte le coeur de l’aventurière,réveille les plus timides. l’amour, triste et merveilleux état. qui nous rend fous, jaloux, meurtris, souffrant, désespérés mais aussi épanouis, affectueux, tendre, simplement heureux. alors comment décrire cet état en soi inexplicable de sens. comme décrire ce qui ne peut se définir avec des lettres. ce qui est l’état du plus grand désordre interne. de la plus grande force et de la plus grand faiblesse. etre amené à parler d’un sujet aussi vaste que l’amour,c’est être amené à parler au nom de tous. au nom de six milliards et demi d’âmes. au nom de vision si différentes que l’on ne peut admettre une vérité. une description. l’amour, ce serait celle donné par six milliards et demi d’âmes. il existe tout en étant transparent. l’amour,c’est comme le vent, on ne le voit pas, mais on le sent. dans nos tripes. dans nos entrailles. dans la peau, les muscles, les lèvres, le ventre,la nuque, les mains, les jambes, la tête. on le sent dans notre âme. c’est le sentiment le plus doux et le plus violent à la fois.agressif sous des apparences mielleuses,nous nous endormons aisément sur ce qu’il y a de plus tranchant. piquant ressenti qui nous transperce mais nous transcende en tant qu’homme et femme. immortelle chose, plus forte que le ciel, les oiseaux et la terre. plus forte que nous-même. dépassée par elle, on trouve enfin le sens de notre vie. love actually is all around us . mad’moiselle x. par reycecile le 10 janvier, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 3 janvier, 2010 personne ne parle en notre présence comme il en parle en notre absence. l’union qui est entre les hommes n’est fondée que sur cette mutuelle tromperie. [blaise pascal] une vie sans toi, c’est comme une jeunesse sans amour. une vie sans toi, c’est l’absence de chaleur. une vie sans toi, c’est comme l’été sans hiver. une vie sans toi,c’est comme une folie sans tendresse,une envie sans caresse. une vie sans toi,c’est un monde qui s’éteint, une fleur qui se fane, un sourire oublié.c’est comme un désert sans sable, une mer sans eau, un mot sans lettre, un couple sans amant, un ciel sans azur, une tristesse sans sentiments. une vie sans toi, c’est un ruisseau qui coule à l’envers, c’est de l’eau qui s’évapore. c’est l’écriture sans raison, c’est le vide de sens, c’est une métaphore sans image, sans emphase, un style ampoulé sans exagération, une blessure sans plaie, un pansement qui ne colle pas. une vie sans toi,c’est plus d’engueulades mais plus de réconciliation après. c’est plus la trahison mais plus le pardon. c’est plus le mal mais c’est plus le bon. c’est plus être deux mais plus être à deux. c’est plus la vengeance mais pas l’entre-aide non plus. c’est plus ton absence régulière mais plus ton retour non plus. etre sans toi, c’est plus attendre, mais c’est plus te retrouver. une vie sans toi,c’est plus le silence mais ce ne sera plus le partage. une vie sans toi ,c’est les dès sans le jeu, les pions sans les cases, les cartes sans les nombres, le hasard sans le destin. un avion qui s’écrase, un stylo qui n’écrit pas, des yeux qui s’aveuglent, des mains qui ne sentent plus, des rêves flous, des bruits inexistants, une ombre qui se cache, un enfant qui cri la bouche fermée,c’est dormir les yeux ouverts, c’est les étoiles sans le ciel, les étoiles qui s’enflamment, c’est le froid qui s’empart de mon âme. etre sans toi, c’est ne plus connaitre l’avec. c’est le vide,le tonneau des danaides. la vie lumineuse s’évapore. c’est comme des lucioles qui se bousculent,des animaux qui s’entretuent. sans toi, c’est perdre une histoire. c’est perdre le désir,c’est ne plus aider quelqu’un. sans toi,c’est egoiste. sans toi,c’est seulement moi. et moi,c’était aussi toi. sans toi, c’est fini. c’est disparu. enfoui. dissimulé. rêvé. imaginé. envolé en fumé. mad’moiselle x. par reycecile le 3 janvier, 2010 dans non classé pas encore de commentaires 1 2 archives octobre 2010 juillet 2010 juin 2010 mars 2010 février 2010 janvier 2010 décembre 2009 10 plus commentés 10 derniers articles « j’ai hate qu’on s’haime. » a coeur ouvert et raison close. vâgue à l’ame. virgin suicides. tome 1. ce ne sera plus “dessine moi un mouton” mais “dessinons notre amour”. « il fait froid car on regarde là où il n’y a pas de chaleur.” alexandra david-néel coup d’mots. “quelle lumière est lumière si elle ne l’éclaire pas. quelle joie est joie s’il est loin de moi. si ce n’est d’imaginer qu’il est là et me repaitre d’une ombre de perfection. si la nuit, je ne suis pas près de lui,où est la musique du rossignol? si le jour,je ne le contemple pas, il n’est de jour qui vaille d’être contemplé. il est mon essence. ” personne ne parle en notre présence comme il en parle en notre absence. l’union qui est entre les hommes n’est fondée que sur cette mutuelle tromperie. 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% See https://www.afnic.fr/en/products-and-services/services/whois/whois-special-notice/
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OVH
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59100 Roubaix

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  NAME unblog.fr

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